L'histoire sans Fin
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charles de gaulle
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Re: L'histoire sans Fin
Un fennec marchait dans le potager avec son imperméable couleur pervanche. Il ne mouillait que quand il avait des besoins sordide de télépathie.Cette télépathie avait des avant bras assé ambigu.La chevelure hirsute de son train train quotidien avait de quoi faire bruler vif sur place une charue. Mais soudain un auran-outan beige vint le prendre par les lobes avec doute d'un champignon maléfique doté de grande cuisse qui cultive des professeurs d'algebre dans son potager.Mais alors le maracas prit la barre a l'aide de son cuir chevelue protubérant pourvu des plus grands ficellos que l'avenir le permet.Mais il ne souriait pas quand Rasler mit l'histoire tout en vert.car son corps, maintenant controlé par la colle suintant de Chameaus Hostiles à l'émancipation des pinguiins d'Amazonie du sud ouest non-orthodoxe atteint de la cholera malfaisante, avait émenssipé la moitié du soda à la saveur de fraise hatchback, roulant sur un tapis scotcher de mouches urluberlu. Dans sa cabane joufflu, il rangeait son plus beau tatami, le plus jovial d'entre tous. Ce n'est pas l'assurance qui le fit rendre grand mais le grande flaque de guano qui coulaient d'un air indescriptible. Plus tôt cette saison là, sans la moindre apparence, il prit sa bouteille de gel Alberto, la squeezza pour enlever
Hobster- Le Chat Exhorbitant
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Un fennec marchait dans le potager avec son imperméable couleur pervanche. Il ne mouillait que quand il avait des besoins sordide de télépathie.Cette télépathie avait des avant bras assé ambigu.La chevelure hirsute de son train train quotidien avait de quoi faire bruler vif sur place une charue. Mais soudain un auran-outan beige vint le prendre par les lobes avec doute d'un champignon maléfique doté de grande cuisse qui cultive des professeurs d'algebre dans son potager.Mais alors le maracas prit la barre a l'aide de son cuir chevelue protubérant pourvu des plus grands ficellos que l'avenir le permet.Mais il ne souriait pas quand Rasler mit l'histoire tout en vert.car son corps, maintenant controlé par la colle suintant de Chameaus Hostiles à l'émancipation des pinguiins d'Amazonie du sud ouest non-orthodoxe atteint de la cholera malfaisante, avait émenssipé la moitié du soda à la saveur de fraise hatchback, roulant sur un tapis scotcher de mouches urluberlu. Dans sa cabane joufflu, il rangeait son plus beau tatami, le plus jovial d'entre tous. Ce n'est pas l'assurance qui le fit rendre grand mais le grande flaque de guano qui coulaient d'un air indescriptible. Plus tôt cette saison là, sans la moindre apparence, il prit sa bouteille de gel Alberto, la squeezza pour enlever ses excrément laissés là plus tôt la veille
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Un fennec marchait dans le potager avec son imperméable couleur pervanche. Il ne mouillait que quand il avait des besoins sordide de télépathie.Cette télépathie avait des avant bras assé ambigu.La chevelure hirsute de son train train quotidien avait de quoi faire bruler vif sur place une charue. Mais soudain un auran-outan beige vint le prendre par les lobes avec doute d'un champignon maléfique doté de grande cuisse qui cultive des professeurs d'algebre dans son potager.Mais alors le maracas prit la barre a l'aide de son cuir chevelue protubérant pourvu des plus grands ficellos que l'avenir le permet.Mais il ne souriait pas quand Rasler mit l'histoire tout en vert.car son corps, maintenant controlé par la colle suintant de Chameaus Hostiles à l'émancipation des pinguiins d'Amazonie du sud ouest non-orthodoxe atteint de la cholera malfaisante, avait émenssipé la moitié du soda à la saveur de fraise hatchback, roulant sur un tapis scotcher de mouches urluberlu. Dans sa cabane joufflu, il rangeait son plus beau tatami, le plus jovial d'entre tous. Ce n'est pas l'assurance qui le fit rendre grand mais le grande flaque de guano qui coulaient d'un air indescriptible. Plus tôt cette saison là, sans la moindre apparence, il prit sa bouteille de gel Alberto, la squeezza pour enlever ses excrément laissés là plus tôt la veille, puis obtint la réponse de
Hobster- Le Chat Exhorbitant
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Un fennec marchait dans le potager avec son imperméable couleur pervanche. Il ne mouillait que quand il avait des besoins sordide de télépathie.Cette télépathie avait des avant bras assé ambigu.La chevelure hirsute de son train train quotidien avait de quoi faire bruler vif sur place une charue. Mais soudain un auran-outan beige vint le prendre par les lobes avec doute d'un champignon maléfique doté de grande cuisse qui cultive des professeurs d'algebre dans son potager.Mais alors le maracas prit la barre a l'aide de son cuir chevelue protubérant pourvu des plus grands ficellos que l'avenir le permet.Mais il ne souriait pas quand Rasler mit l'histoire tout en vert.car son corps, maintenant controlé par la colle suintant de Chameaus Hostiles à l'émancipation des pinguiins d'Amazonie du sud ouest non-orthodoxe atteint de la cholera malfaisante, avait émenssipé la moitié du soda à la saveur de fraise hatchback, roulant sur un tapis scotcher de mouches urluberlu. Dans sa cabane joufflu, il rangeait son plus beau tatami, le plus jovial d'entre tous. Ce n'est pas l'assurance qui le fit rendre grand mais le grande flaque de guano qui coulaient d'un air indescriptible. Plus tôt cette saison là, sans la moindre apparence, il prit sa bouteille de gel Alberto, la squeezza pour enlever ses excrément laissés là plus tôt la veille, puis obtint la réponse de son entrevue passée afin de se trouver un travail
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Un fennec marchait dans le potager avec son imperméable couleur pervanche. Il ne mouillait que quand il avait des besoins sordide de télépathie.Cette télépathie avait des avant bras assé ambigu.La chevelure hirsute de son train train quotidien avait de quoi faire bruler vif sur place une charue. Mais soudain un auran-outan beige vint le prendre par les lobes avec doute d'un champignon maléfique doté de grande cuisse qui cultive des professeurs d'algebre dans son potager.Mais alors le maracas prit la barre a l'aide de son cuir chevelue protubérant pourvu des plus grands ficellos que l'avenir le permet.Mais il ne souriait pas quand Rasler mit l'histoire tout en vert.car son corps, maintenant controlé par la colle suintant de Chameaus Hostiles à l'émancipation des pinguiins d'Amazonie du sud ouest non-orthodoxe atteint de la cholera malfaisante, avait émenssipé la moitié du soda à la saveur de fraise hatchback, roulant sur un tapis scotcher de mouches urluberlu. Dans sa cabane joufflu, il rangeait son plus beau tatami, le plus jovial d'entre tous. Ce n'est pas l'assurance qui le fit rendre grand mais le grande flaque de guano qui coulaient d'un air indescriptible. Plus tôt cette saison là, sans la moindre apparence, il prit sa bouteille de gel Alberto, la squeezza pour enlever ses excrément laissés là plus tôt la veille, puis obtint la réponse de son entrevue passée afin de se trouver un travail comme héron a plein temps.
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Un fennec marchait dans le potager avec son imperméable couleur pervanche. Il ne mouillait que quand il avait des besoins sordide de télépathie.Cette télépathie avait des avant bras assé ambigu.La chevelure hirsute de son train train quotidien avait de quoi faire bruler vif sur place une charue. Mais soudain un auran-outan beige vint le prendre par les lobes avec doute d'un champignon maléfique doté de grande cuisse qui cultive des professeurs d'algebre dans son potager.Mais alors le maracas prit la barre a l'aide de son cuir chevelue protubérant pourvu des plus grands ficellos que l'avenir le permet.Mais il ne souriait pas quand Rasler mit l'histoire tout en vert.car son corps, maintenant controlé par la colle suintant de Chameaus Hostiles à l'émancipation des pinguiins d'Amazonie du sud ouest non-orthodoxe atteint de la cholera malfaisante, avait émenssipé la moitié du soda à la saveur de fraise hatchback, roulant sur un tapis scotcher de mouches urluberlu. Dans sa cabane joufflu, il rangeait son plus beau tatami, le plus jovial d'entre tous. Ce n'est pas l'assurance qui le fit rendre grand mais le grande flaque de guano qui coulaient d'un air indescriptible. Plus tôt cette saison là, sans la moindre apparence, il prit sa bouteille de gel Alberto, la squeezza pour enlever ses excrément laissés là plus tôt la veille, puis obtint la réponse de son entrevue passée afin de se trouver un travail comme héron a plein temps. Son travail
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Un fennec marchait dans le potager avec son imperméable couleur pervanche. Il ne mouillait que quand il avait des besoins sordide de télépathie.Cette télépathie avait des avant bras assé ambigu.La chevelure hirsute de son train train quotidien avait de quoi faire bruler vif sur place une charue. Mais soudain un auran-outan beige vint le prendre par les lobes avec doute d'un champignon maléfique doté de grande cuisse qui cultive des professeurs d'algebre dans son potager.Mais alors le maracas prit la barre a l'aide de son cuir chevelue protubérant pourvu des plus grands ficellos que l'avenir le permet.Mais il ne souriait pas quand Rasler mit l'histoire tout en vert.car son corps, maintenant controlé par la colle suintant de Chameaus Hostiles à l'émancipation des pinguiins d'Amazonie du sud ouest non-orthodoxe atteint de la cholera malfaisante, avait émenssipé la moitié du soda à la saveur de fraise hatchback, roulant sur un tapis scotcher de mouches urluberlu. Dans sa cabane joufflu, il rangeait son plus beau tatami, le plus jovial d'entre tous. Ce n'est pas l'assurance qui le fit rendre grand mais le grande flaque de guano qui coulaient d'un air indescriptible. Plus tôt cette saison là, sans la moindre apparence, il prit sa bouteille de gel Alberto, la squeezza pour enlever ses excrément laissés là plus tôt la veille, puis obtint la réponse de son entrevue passée afin de se trouver un travail comme héron a plein temps. Son travail ne consistait pas en
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Un fennec marchait dans le potager avec son imperméable couleur pervanche. Il ne mouillait que quand il avait des besoins sordide de télépathie.Cette télépathie avait des avant bras assé ambigu.La chevelure hirsute de son train train quotidien avait de quoi faire bruler vif sur place une charue. Mais soudain un auran-outan beige vint le prendre par les lobes avec doute d'un champignon maléfique doté de grande cuisse qui cultive des professeurs d'algebre dans son potager.Mais alors le maracas prit la barre a l'aide de son cuir chevelue protubérant pourvu des plus grands ficellos que l'avenir le permet.Mais il ne souriait pas quand Rasler mit l'histoire tout en vert.car son corps, maintenant controlé par la colle suintant de Chameaus Hostiles à l'émancipation des pinguiins d'Amazonie du sud ouest non-orthodoxe atteint de la cholera malfaisante, avait émenssipé la moitié du soda à la saveur de fraise hatchback, roulant sur un tapis scotcher de mouches urluberlu. Dans sa cabane joufflu, il rangeait son plus beau tatami, le plus jovial d'entre tous. Ce n'est pas l'assurance qui le fit rendre grand mais le grande flaque de guano qui coulaient d'un air indescriptible. Plus tôt cette saison là, sans la moindre apparence, il prit sa bouteille de gel Alberto, la squeezza pour enlever ses excrément laissés là plus tôt la veille, puis obtint la réponse de son entrevue passée afin de se trouver un travail comme héron a plein temps. Son travail ne consistait pas à ramasser les mouches mortes sur les bords des fenêtres en été mais bien
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Un fennec marchait dans le potager avec son imperméable couleur pervanche. Il ne mouillait que quand il avait des besoins sordide de télépathie.Cette télépathie avait des avant bras assé ambigu.La chevelure hirsute de son train train quotidien avait de quoi faire bruler vif sur place une charue. Mais soudain un auran-outan beige vint le prendre par les lobes avec doute d'un champignon maléfique doté de grande cuisse qui cultive des professeurs d'algebre dans son potager.Mais alors le maracas prit la barre a l'aide de son cuir chevelue protubérant pourvu des plus grands ficellos que l'avenir le permet.Mais il ne souriait pas quand Rasler mit l'histoire tout en vert.car son corps, maintenant controlé par la colle suintant de Chameaus Hostiles à l'émancipation des pinguiins d'Amazonie du sud ouest non-orthodoxe atteint de la cholera malfaisante, avait émenssipé la moitié du soda à la saveur de fraise hatchback, roulant sur un tapis scotcher de mouches urluberlu. Dans sa cabane joufflu, il rangeait son plus beau tatami, le plus jovial d'entre tous. Ce n'est pas l'assurance qui le fit rendre grand mais le grande flaque de guano qui coulaient d'un air indescriptible. Plus tôt cette saison là, sans la moindre apparence, il prit sa bouteille de gel Alberto, la squeezza pour enlever ses excrément laissés là plus tôt la veille, puis obtint la réponse de son entrevue passée afin de se trouver un travail comme héron a plein temps. Son travail ne consistait pas à ramasser les mouches mortes sur les bords des fenêtres en été mais bien à laver les fenetres de la grue
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Un fennec marchait dans le potager avec son imperméable couleur pervanche. Il ne mouillait que quand il avait des besoins sordide de télépathie.Cette télépathie avait des avant bras assé ambigu.La chevelure hirsute de son train train quotidien avait de quoi faire bruler vif sur place une charue. Mais soudain un auran-outan beige vint le prendre par les lobes avec doute d'un champignon maléfique doté de grande cuisse qui cultive des professeurs d'algebre dans son potager.Mais alors le maracas prit la barre a l'aide de son cuir chevelue protubérant pourvu des plus grands ficellos que l'avenir le permet.Mais il ne souriait pas quand Rasler mit l'histoire tout en vert.car son corps, maintenant controlé par la colle suintant de Chameaus Hostiles à l'émancipation des pinguiins d'Amazonie du sud ouest non-orthodoxe atteint de la cholera malfaisante, avait émenssipé la moitié du soda à la saveur de fraise hatchback, roulant sur un tapis scotcher de mouches urluberlu. Dans sa cabane joufflu, il rangeait son plus beau tatami, le plus jovial d'entre tous. Ce n'est pas l'assurance qui le fit rendre grand mais le grande flaque de guano qui coulaient d'un air indescriptible. Plus tôt cette saison là, sans la moindre apparence, il prit sa bouteille de gel Alberto, la squeezza pour enlever ses excrément laissés là plus tôt la veille, puis obtint la réponse de son entrevue passée afin de se trouver un travail comme héron a plein temps. Son travail ne consistait pas à ramasser les mouches mortes sur les bords des fenêtres en été mais bien à laver les fenetres de la grue à Maurice.
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Un fennec marchait dans le potager avec son imperméable couleur pervanche. Il ne mouillait que quand il avait des besoins sordide de télépathie.Cette télépathie avait des avant bras assé ambigu.La chevelure hirsute de son train train quotidien avait de quoi faire bruler vif sur place une charue. Mais soudain un auran-outan beige vint le prendre par les lobes avec doute d'un champignon maléfique doté de grande cuisse qui cultive des professeurs d'algebre dans son potager.Mais alors le maracas prit la barre a l'aide de son cuir chevelue protubérant pourvu des plus grands ficellos que l'avenir le permet.Mais il ne souriait pas quand Rasler mit l'histoire tout en vert.car son corps, maintenant controlé par la colle suintant de Chameaus Hostiles à l'émancipation des pinguiins d'Amazonie du sud ouest non-orthodoxe atteint de la cholera malfaisante, avait émenssipé la moitié du soda à la saveur de fraise hatchback, roulant sur un tapis scotcher de mouches urluberlu. Dans sa cabane joufflu, il rangeait son plus beau tatami, le plus jovial d'entre tous. Ce n'est pas l'assurance qui le fit rendre grand mais le grande flaque de guano qui coulaient d'un air indescriptible. Plus tôt cette saison là, sans la moindre apparence, il prit sa bouteille de gel Alberto, la squeezza pour enlever ses excrément laissés là plus tôt la veille, puis obtint la réponse de son entrevue passée afin de se trouver un travail comme héron a plein temps. Son travail ne consistait pas à ramasser les mouches mortes sur les bords des fenêtres en été mais bien à laver les fenetres de la grue à Maurice. Puisqu'il n'avait aps besoin
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Un fennec marchait dans le potager avec son imperméable couleur pervanche. Il ne mouillait que quand il avait des besoins sordide de télépathie.Cette télépathie avait des avant bras assé ambigu.La chevelure hirsute de son train train quotidien avait de quoi faire bruler vif sur place une charue. Mais soudain un auran-outan beige vint le prendre par les lobes avec doute d'un champignon maléfique doté de grande cuisse qui cultive des professeurs d'algebre dans son potager.Mais alors le maracas prit la barre a l'aide de son cuir chevelue protubérant pourvu des plus grands ficellos que l'avenir le permet.Mais il ne souriait pas quand Rasler mit l'histoire tout en vert.car son corps, maintenant controlé par la colle suintant de Chameaus Hostiles à l'émancipation des pinguiins d'Amazonie du sud ouest non-orthodoxe atteint de la cholera malfaisante, avait émenssipé la moitié du soda à la saveur de fraise hatchback, roulant sur un tapis scotcher de mouches urluberlu. Dans sa cabane joufflu, il rangeait son plus beau tatami, le plus jovial d'entre tous. Ce n'est pas l'assurance qui le fit rendre grand mais le grande flaque de guano qui coulaient d'un air indescriptible. Plus tôt cette saison là, sans la moindre apparence, il prit sa bouteille de gel Alberto, la squeezza pour enlever ses excrément laissés là plus tôt la veille, puis obtint la réponse de son entrevue passée afin de se trouver un travail comme héron a plein temps. Son travail ne consistait pas à ramasser les mouches mortes sur les bords des fenêtres en été mais bien à laver les fenetres de la grue à Maurice. Puisqu'il n'avait pas besoin d'ordures télécommandées,
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Un fennec marchait dans le potager avec son imperméable couleur pervanche. Il ne mouillait que quand il avait des besoins sordide de télépathie.Cette télépathie avait des avant bras assé ambigu.La chevelure hirsute de son train train quotidien avait de quoi faire bruler vif sur place une charue. Mais soudain un auran-outan beige vint le prendre par les lobes avec doute d'un champignon maléfique doté de grande cuisse qui cultive des professeurs d'algebre dans son potager.Mais alors le maracas prit la barre a l'aide de son cuir chevelue protubérant pourvu des plus grands ficellos que l'avenir le permet.Mais il ne souriait pas quand Rasler mit l'histoire tout en vert.car son corps, maintenant controlé par la colle suintant de Chameaus Hostiles à l'émancipation des pinguiins d'Amazonie du sud ouest non-orthodoxe atteint de la cholera malfaisante, avait émenssipé la moitié du soda à la saveur de fraise hatchback, roulant sur un tapis scotcher de mouches urluberlu. Dans sa cabane joufflu, il rangeait son plus beau tatami, le plus jovial d'entre tous. Ce n'est pas l'assurance qui le fit rendre grand mais le grande flaque de guano qui coulaient d'un air indescriptible. Plus tôt cette saison là, sans la moindre apparence, il prit sa bouteille de gel Alberto, la squeezza pour enlever ses excrément laissés là plus tôt la veille, puis obtint la réponse de son entrevue passée afin de se trouver un travail comme héron a plein temps. Son travail ne consistait pas à ramasser les mouches mortes sur les bords des fenêtres en été mais bien à laver les fenetres de la grue à Maurice. Puisqu'il n'avait pas besoin d'ordures télécommandées, il jeta par la fenetre le cd contenant la toune Out Of The Shadows - Iron Maiden, par le portail.
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Un fennec marchait dans le potager avec son imperméable couleur pervanche. Il ne mouillait que quand il avait des besoins sordide de télépathie.Cette télépathie avait des avant bras assé ambigu.La chevelure hirsute de son train train quotidien avait de quoi faire bruler vif sur place une charue. Mais soudain un auran-outan beige vint le prendre par les lobes avec doute d'un champignon maléfique doté de grande cuisse qui cultive des professeurs d'algebre dans son potager.Mais alors le maracas prit la barre a l'aide de son cuir chevelue protubérant pourvu des plus grands ficellos que l'avenir le permet.Mais il ne souriait pas quand Rasler mit l'histoire tout en vert.car son corps, maintenant controlé par la colle suintant de Chameaus Hostiles à l'émancipation des pinguiins d'Amazonie du sud ouest non-orthodoxe atteint de la cholera malfaisante, avait émenssipé la moitié du soda à la saveur de fraise hatchback, roulant sur un tapis scotcher de mouches urluberlu. Dans sa cabane joufflu, il rangeait son plus beau tatami, le plus jovial d'entre tous. Ce n'est pas l'assurance qui le fit rendre grand mais le grande flaque de guano qui coulaient d'un air indescriptible. Plus tôt cette saison là, sans la moindre apparence, il prit sa bouteille de gel Alberto, la squeezza pour enlever ses excrément laissés là plus tôt la veille, puis obtint la réponse de son entrevue passée afin de se trouver un travail comme héron a plein temps. Son travail ne consistait pas à ramasser les mouches mortes sur les bords des fenêtres en été mais bien à laver les fenetres de la grue à Maurice. Puisqu'il n'avait pas besoin d'ordures télécommandées, il jeta par la fenetre le cd contenant la toune Out Of The Shadows - Iron Maiden, par le portail. Dieu apparut
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Un fennec marchait dans le potager avec son imperméable couleur pervanche. Il ne mouillait que quand il avait des besoins sordide de télépathie.Cette télépathie avait des avant bras assé ambigu.La chevelure hirsute de son train train quotidien avait de quoi faire bruler vif sur place une charue. Mais soudain un auran-outan beige vint le prendre par les lobes avec doute d'un champignon maléfique doté de grande cuisse qui cultive des professeurs d'algebre dans son potager.Mais alors le maracas prit la barre a l'aide de son cuir chevelue protubérant pourvu des plus grands ficellos que l'avenir le permet.Mais il ne souriait pas quand Rasler mit l'histoire tout en vert.car son corps, maintenant controlé par la colle suintant de Chameaus Hostiles à l'émancipation des pinguiins d'Amazonie du sud ouest non-orthodoxe atteint de la cholera malfaisante, avait émenssipé la moitié du soda à la saveur de fraise hatchback, roulant sur un tapis scotcher de mouches urluberlu. Dans sa cabane joufflu, il rangeait son plus beau tatami, le plus jovial d'entre tous. Ce n'est pas l'assurance qui le fit rendre grand mais le grande flaque de guano qui coulaient d'un air indescriptible. Plus tôt cette saison là, sans la moindre apparence, il prit sa bouteille de gel Alberto, la squeezza pour enlever ses excrément laissés là plus tôt la veille, puis obtint la réponse de son entrevue passée afin de se trouver un travail comme héron a plein temps. Son travail ne consistait pas à ramasser les mouches mortes sur les bords des fenêtres en été mais bien à laver les fenetres de la grue à Maurice. Puisqu'il n'avait pas besoin d'ordures télécommandées, il jeta par la fenetre le cd contenant la toune Out Of The Shadows - Iron Maiden, par le portail. Dieu apparut mais se cassa
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Un fennec marchait dans le potager avec son imperméable couleur pervanche. Il ne mouillait que quand il avait des besoins sordide de télépathie.Cette télépathie avait des avant bras assé ambigu.La chevelure hirsute de son train train quotidien avait de quoi faire bruler vif sur place une charue. Mais soudain un auran-outan beige vint le prendre par les lobes avec doute d'un champignon maléfique doté de grande cuisse qui cultive des professeurs d'algebre dans son potager.Mais alors le maracas prit la barre a l'aide de son cuir chevelue protubérant pourvu des plus grands ficellos que l'avenir le permet.Mais il ne souriait pas quand Rasler mit l'histoire tout en vert.car son corps, maintenant controlé par la colle suintant de Chameaus Hostiles à l'émancipation des pinguiins d'Amazonie du sud ouest non-orthodoxe atteint de la cholera malfaisante, avait émenssipé la moitié du soda à la saveur de fraise hatchback, roulant sur un tapis scotcher de mouches urluberlu. Dans sa cabane joufflu, il rangeait son plus beau tatami, le plus jovial d'entre tous. Ce n'est pas l'assurance qui le fit rendre grand mais le grande flaque de guano qui coulaient d'un air indescriptible. Plus tôt cette saison là, sans la moindre apparence, il prit sa bouteille de gel Alberto, la squeezza pour enlever ses excrément laissés là plus tôt la veille, puis obtint la réponse de son entrevue passée afin de se trouver un travail comme héron a plein temps. Son travail ne consistait pas à ramasser les mouches mortes sur les bords des fenêtres en été mais bien à laver les fenetres de la grue à Maurice. Puisqu'il n'avait pas besoin d'ordures télécommandées, il jeta par la fenetre le cd contenant la toune Out Of The Shadows - Iron Maiden, par le portail. Dieu apparut mais se cassa l'urne sur la tête
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Un fennec marchait dans le potager avec son imperméable couleur pervanche. Il ne mouillait que quand il avait des besoins sordide de télépathie.Cette télépathie avait des avant bras assé ambigu.La chevelure hirsute de son train train quotidien avait de quoi faire bruler vif sur place une charue. Mais soudain un auran-outan beige vint le prendre par les lobes avec doute d'un champignon maléfique doté de grande cuisse qui cultive des professeurs d'algebre dans son potager.Mais alors le maracas prit la barre a l'aide de son cuir chevelue protubérant pourvu des plus grands ficellos que l'avenir le permet.Mais il ne souriait pas quand Rasler mit l'histoire tout en vert.car son corps, maintenant controlé par la colle suintant de Chameaus Hostiles à l'émancipation des pinguiins d'Amazonie du sud ouest non-orthodoxe atteint de la cholera malfaisante, avait émenssipé la moitié du soda à la saveur de fraise hatchback, roulant sur un tapis scotcher de mouches urluberlu. Dans sa cabane joufflu, il rangeait son plus beau tatami, le plus jovial d'entre tous. Ce n'est pas l'assurance qui le fit rendre grand mais le grande flaque de guano qui coulaient d'un air indescriptible. Plus tôt cette saison là, sans la moindre apparence, il prit sa bouteille de gel Alberto, la squeezza pour enlever ses excrément laissés là plus tôt la veille, puis obtint la réponse de son entrevue passée afin de se trouver un travail comme héron a plein temps. Son travail ne consistait pas à ramasser les mouches mortes sur les bords des fenêtres en été mais bien à laver les fenetres de la grue à Maurice. Puisqu'il n'avait pas besoin d'ordures télécommandées, il jeta par la fenetre le cd contenant la toune Out Of The Shadows - Iron Maiden, par le portail. Dieu apparut mais se cassa l'urne sur la tête pendant que père
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Un fennec marchait dans le potager avec son imperméable couleur pervanche. Il ne mouillait que quand il avait des besoins sordide de télépathie.Cette télépathie avait des avant bras assé ambigu.La chevelure hirsute de son train train quotidien avait de quoi faire bruler vif sur place une charue. Mais soudain un auran-outan beige vint le prendre par les lobes avec doute d'un champignon maléfique doté de grande cuisse qui cultive des professeurs d'algebre dans son potager.Mais alors le maracas prit la barre a l'aide de son cuir chevelue protubérant pourvu des plus grands ficellos que l'avenir le permet.Mais il ne souriait pas quand Rasler mit l'histoire tout en vert.car son corps, maintenant controlé par la colle suintant de Chameaus Hostiles à l'émancipation des pinguiins d'Amazonie du sud ouest non-orthodoxe atteint de la cholera malfaisante, avait émenssipé la moitié du soda à la saveur de fraise hatchback, roulant sur un tapis scotcher de mouches urluberlu. Dans sa cabane joufflu, il rangeait son plus beau tatami, le plus jovial d'entre tous. Ce n'est pas l'assurance qui le fit rendre grand mais le grande flaque de guano qui coulaient d'un air indescriptible. Plus tôt cette saison là, sans la moindre apparence, il prit sa bouteille de gel Alberto, la squeezza pour enlever ses excrément laissés là plus tôt la veille, puis obtint la réponse de son entrevue passée afin de se trouver un travail comme héron a plein temps. Son travail ne consistait pas à ramasser les mouches mortes sur les bords des fenêtres en été mais bien à laver les fenetres de la grue à Maurice. Puisqu'il n'avait pas besoin d'ordures télécommandées, il jeta par la fenetre le cd contenant la toune Out Of The Shadows - Iron Maiden, par le portail. Dieu apparut mais se cassa l'urne sur la tête pendant que père Creeping Death
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Re: L'histoire sans Fin
Un fennec marchait dans le potager avec son imperméable couleur pervanche. Il ne mouillait que quand il avait des besoins sordide de télépathie.Cette télépathie avait des avant bras assé ambigu.La chevelure hirsute de son train train quotidien avait de quoi faire bruler vif sur place une charue. Mais soudain un auran-outan beige vint le prendre par les lobes avec doute d'un champignon maléfique doté de grande cuisse qui cultive des professeurs d'algebre dans son potager.Mais alors le maracas prit la barre a l'aide de son cuir chevelue protubérant pourvu des plus grands ficellos que l'avenir le permet.Mais il ne souriait pas quand Rasler mit l'histoire tout en vert.car son corps, maintenant controlé par la colle suintant de Chameaus Hostiles à l'émancipation des pinguiins d'Amazonie du sud ouest non-orthodoxe atteint de la cholera malfaisante, avait émenssipé la moitié du soda à la saveur de fraise hatchback, roulant sur un tapis scotcher de mouches urluberlu. Dans sa cabane joufflu, il rangeait son plus beau tatami, le plus jovial d'entre tous. Ce n'est pas l'assurance qui le fit rendre grand mais le grande flaque de guano qui coulaient d'un air indescriptible. Plus tôt cette saison là, sans la moindre apparence, il prit sa bouteille de gel Alberto, la squeezza pour enlever ses excrément laissés là plus tôt la veille, puis obtint la réponse de son entrevue passée afin de se trouver un travail comme héron a plein temps. Son travail ne consistait pas à ramasser les mouches mortes sur les bords des fenêtres en été mais bien à laver les fenetres de la grue à Maurice. Puisqu'il n'avait pas besoin d'ordures télécommandées, il jeta par la fenetre le cd contenant la toune Out Of The Shadows - Iron Maiden, par le portail. Dieu apparut mais se cassa l'urne sur la tête pendant que père Creeping Death venait tout
Hobster- Le Chat Exhorbitant
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Re: L'histoire sans Fin
Un fennec marchait dans le potager avec son imperméable couleur pervanche. Il ne mouillait que quand il avait des besoins sordide de télépathie.Cette télépathie avait des avant bras assé ambigu.La chevelure hirsute de son train train quotidien avait de quoi faire bruler vif sur place une charue. Mais soudain un auran-outan beige vint le prendre par les lobes avec doute d'un champignon maléfique doté de grande cuisse qui cultive des professeurs d'algebre dans son potager.Mais alors le maracas prit la barre a l'aide de son cuir chevelue protubérant pourvu des plus grands ficellos que l'avenir le permet.Mais il ne souriait pas quand Rasler mit l'histoire tout en vert.car son corps, maintenant controlé par la colle suintant de Chameaus Hostiles à l'émancipation des pinguiins d'Amazonie du sud ouest non-orthodoxe atteint de la cholera malfaisante, avait émenssipé la moitié du soda à la saveur de fraise hatchback, roulant sur un tapis scotcher de mouches urluberlu. Dans sa cabane joufflu, il rangeait son plus beau tatami, le plus jovial d'entre tous. Ce n'est pas l'assurance qui le fit rendre grand mais le grande flaque de guano qui coulaient d'un air indescriptible. Plus tôt cette saison là, sans la moindre apparence, il prit sa bouteille de gel Alberto, la squeezza pour enlever ses excrément laissés là plus tôt la veille, puis obtint la réponse de son entrevue passée afin de se trouver un travail comme héron a plein temps. Son travail ne consistait pas à ramasser les mouches mortes sur les bords des fenêtres en été mais bien à laver les fenetres de la grue à Maurice. Puisqu'il n'avait pas besoin d'ordures télécommandées, il jeta par la fenetre le cd contenant la toune Out Of The Shadows - Iron Maiden, par le portail. Dieu apparut mais se cassa l'urne sur la tête pendant que père Creeping Death venait tout juste de se laver.
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Re: L'histoire sans Fin
Un fennec marchait dans le potager avec son imperméable couleur pervanche. Il ne mouillait que quand il avait des besoins sordide de télépathie.Cette télépathie avait des avant bras assé ambigu.La chevelure hirsute de son train train quotidien avait de quoi faire bruler vif sur place une charue. Mais soudain un auran-outan beige vint le prendre par les lobes avec doute d'un champignon maléfique doté de grande cuisse qui cultive des professeurs d'algebre dans son potager.Mais alors le maracas prit la barre a l'aide de son cuir chevelue protubérant pourvu des plus grands ficellos que l'avenir le permet.Mais il ne souriait pas quand Rasler mit l'histoire tout en vert.car son corps, maintenant controlé par la colle suintant de Chameaus Hostiles à l'émancipation des pinguiins d'Amazonie du sud ouest non-orthodoxe atteint de la cholera malfaisante, avait émenssipé la moitié du soda à la saveur de fraise hatchback, roulant sur un tapis scotcher de mouches urluberlu. Dans sa cabane joufflu, il rangeait son plus beau tatami, le plus jovial d'entre tous. Ce n'est pas l'assurance qui le fit rendre grand mais le grande flaque de guano qui coulaient d'un air indescriptible. Plus tôt cette saison là, sans la moindre apparence, il prit sa bouteille de gel Alberto, la squeezza pour enlever ses excrément laissés là plus tôt la veille, puis obtint la réponse de son entrevue passée afin de se trouver un travail comme héron a plein temps. Son travail ne consistait pas à ramasser les mouches mortes sur les bords des fenêtres en été mais bien à laver les fenetres de la grue à Maurice. Puisqu'il n'avait pas besoin d'ordures télécommandées, il jeta par la fenetre le cd contenant la toune Out Of The Shadows - Iron Maiden, par le portail. Dieu apparut mais se cassa l'urne sur la tête pendant que père Creeping Death venait tout juste de se laver. Jalonné de lanmpes torches, le parcours
Hobster- Le Chat Exhorbitant
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Re: L'histoire sans Fin
Un fennec marchait dans le potager avec son imperméable couleur pervanche. Il ne mouillait que quand il avait des besoins sordide de télépathie.Cette télépathie avait des avant bras assé ambigu.La chevelure hirsute de son train train quotidien avait de quoi faire bruler vif sur place une charue. Mais soudain un auran-outan beige vint le prendre par les lobes avec doute d'un champignon maléfique doté de grande cuisse qui cultive des professeurs d'algebre dans son potager.Mais alors le maracas prit la barre a l'aide de son cuir chevelue protubérant pourvu des plus grands ficellos que l'avenir le permet.Mais il ne souriait pas quand Rasler mit l'histoire tout en vert.car son corps, maintenant controlé par la colle suintant de Chameaus Hostiles à l'émancipation des pinguiins d'Amazonie du sud ouest non-orthodoxe atteint de la cholera malfaisante, avait émenssipé la moitié du soda à la saveur de fraise hatchback, roulant sur un tapis scotcher de mouches urluberlu. Dans sa cabane joufflu, il rangeait son plus beau tatami, le plus jovial d'entre tous. Ce n'est pas l'assurance qui le fit rendre grand mais le grande flaque de guano qui coulaient d'un air indescriptible. Plus tôt cette saison là, sans la moindre apparence, il prit sa bouteille de gel Alberto, la squeezza pour enlever ses excrément laissés là plus tôt la veille, puis obtint la réponse de son entrevue passée afin de se trouver un travail comme héron a plein temps. Son travail ne consistait pas à ramasser les mouches mortes sur les bords des fenêtres en été mais bien à laver les fenetres de la grue à Maurice. Puisqu'il n'avait pas besoin d'ordures télécommandées, il jeta par la fenetre le cd contenant la toune Out Of The Shadows - Iron Maiden, par le portail. Dieu apparut mais se cassa l'urne sur la tête pendant que père Creeping Death venait tout juste de se laver. Jalonné de lanmpes torches, le parcours était jonché de paquerette
Re: L'histoire sans Fin
Un fennec marchait dans le potager avec son imperméable couleur pervanche. Il ne mouillait que quand il avait des besoins sordide de télépathie.Cette télépathie avait des avant bras assé ambigu.La chevelure hirsute de son train train quotidien avait de quoi faire bruler vif sur place une charue. Mais soudain un auran-outan beige vint le prendre par les lobes avec doute d'un champignon maléfique doté de grande cuisse qui cultive des professeurs d'algebre dans son potager.Mais alors le maracas prit la barre a l'aide de son cuir chevelue protubérant pourvu des plus grands ficellos que l'avenir le permet.Mais il ne souriait pas quand Rasler mit l'histoire tout en vert.car son corps, maintenant controlé par la colle suintant de Chameaus Hostiles à l'émancipation des pinguiins d'Amazonie du sud ouest non-orthodoxe atteint de la cholera malfaisante, avait émenssipé la moitié du soda à la saveur de fraise hatchback, roulant sur un tapis scotcher de mouches urluberlu. Dans sa cabane joufflu, il rangeait son plus beau tatami, le plus jovial d'entre tous. Ce n'est pas l'assurance qui le fit rendre grand mais le grande flaque de guano qui coulaient d'un air indescriptible. Plus tôt cette saison là, sans la moindre apparence, il prit sa bouteille de gel Alberto, la squeezza pour enlever ses excrément laissés là plus tôt la veille, puis obtint la réponse de son entrevue passée afin de se trouver un travail comme héron a plein temps. Son travail ne consistait pas à ramasser les mouches mortes sur les bords des fenêtres en été mais bien à laver les fenetres de la grue à Maurice. Puisqu'il n'avait pas besoin d'ordures télécommandées, il jeta par la fenetre le cd contenant la toune Out Of The Shadows - Iron Maiden, par le portail. Dieu apparut mais se cassa l'urne sur la tête pendant que père Creeping Death venait tout juste de se laver. Jalonné de lampes torches, le parcours était jonché de paquerette violettes et ambrés, marchant sur la pelouse
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Re: L'histoire sans Fin
Un fennec marchait dans le potager avec son imperméable couleur pervanche. Il ne mouillait que quand il avait des besoins sordide de télépathie.Cette télépathie avait des avant bras assé ambigu.La chevelure hirsute de son train train quotidien avait de quoi faire bruler vif sur place une charue. Mais soudain un auran-outan beige vint le prendre par les lobes avec doute d'un champignon maléfique doté de grande cuisse qui cultive des professeurs d'algebre dans son potager.Mais alors le maracas prit la barre a l'aide de son cuir chevelue protubérant pourvu des plus grands ficellos que l'avenir le permet.Mais il ne souriait pas quand Rasler mit l'histoire tout en vert.car son corps, maintenant controlé par la colle suintant de Chameaus Hostiles à l'émancipation des pinguiins d'Amazonie du sud ouest non-orthodoxe atteint de la cholera malfaisante, avait émenssipé la moitié du soda à la saveur de fraise hatchback, roulant sur un tapis scotcher de mouches urluberlu. Dans sa cabane joufflu, il rangeait son plus beau tatami, le plus jovial d'entre tous. Ce n'est pas l'assurance qui le fit rendre grand mais le grande flaque de guano qui coulaient d'un air indescriptible. Plus tôt cette saison là, sans la moindre apparence, il prit sa bouteille de gel Alberto, la squeezza pour enlever ses excrément laissés là plus tôt la veille, puis obtint la réponse de son entrevue passée afin de se trouver un travail comme héron a plein temps. Son travail ne consistait pas à ramasser les mouches mortes sur les bords des fenêtres en été mais bien à laver les fenetres de la grue à Maurice. Puisqu'il n'avait pas besoin d'ordures télécommandées, il jeta par la fenetre le cd contenant la toune Out Of The Shadows - Iron Maiden, par le portail. Dieu apparut mais se cassa l'urne sur la tête pendant que père Creeping Death venait tout juste de se laver. Jalonné de lampes torches, le parcours était jonché de paquerette violettes et ambrés, marchant sur la pelouse orange de la vache à Maurice
Creeping Death- Messages : 808
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Un fennec marchait dans le potager avec son imperméable couleur pervanche. Il ne mouillait que quand il avait des besoins sordide de télépathie.Cette télépathie avait des avant bras assé ambigu.La chevelure hirsute de son train train quotidien avait de quoi faire bruler vif sur place une charue. Mais soudain un auran-outan beige vint le prendre par les lobes avec doute d'un champignon maléfique doté de grande cuisse qui cultive des professeurs d'algebre dans son potager.Mais alors le maracas prit la barre a l'aide de son cuir chevelue protubérant pourvu des plus grands ficellos que l'avenir le permet.Mais il ne souriait pas quand Rasler mit l'histoire tout en vert.car son corps, maintenant controlé par la colle suintant de Chameaus Hostiles à l'émancipation des pinguiins d'Amazonie du sud ouest non-orthodoxe atteint de la cholera malfaisante, avait émenssipé la moitié du soda à la saveur de fraise hatchback, roulant sur un tapis scotcher de mouches urluberlu. Dans sa cabane joufflu, il rangeait son plus beau tatami, le plus jovial d'entre tous. Ce n'est pas l'assurance qui le fit rendre grand mais le grande flaque de guano qui coulaient d'un air indescriptible. Plus tôt cette saison là, sans la moindre apparence, il prit sa bouteille de gel Alberto, la squeezza pour enlever ses excrément laissés là plus tôt la veille, puis obtint la réponse de son entrevue passée afin de se trouver un travail comme héron a plein temps. Son travail ne consistait pas à ramasser les mouches mortes sur les bords des fenêtres en été mais bien à laver les fenetres de la grue à Maurice. Puisqu'il n'avait pas besoin d'ordures télécommandées, il jeta par la fenetre le cd contenant la toune Out Of The Shadows - Iron Maiden, par le portail. Dieu apparut mais se cassa l'urne sur la tête pendant que père Creeping Death venait tout juste de se laver. Jalonné de lampes torches, le parcours était jonché de paquerette violettes et ambrés, marchant sur la pelouse orange de la vache à Maurice qui valsait avec monsieur thibodeau sur
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